Matin d'été.


Dans un ciel bleu mi-éveillé,
Mais pas encore illuminé
De la clarté des jours d'été,
Les oiseaux sifflent un air aimé.

Un peu plus loin à l'horizon,
Le soleil filtre ses rayons
Qui entourés d'une ouate rose
Peu à peu se métamorphosent.

Un doux zéphyr réchauffe la nature
Qui étale sa splendide parure
Des plus petits êtres éveillés,
A la quenouille des peupliers.

Michel Pelay


Index

Analyse du poème par Chat GPT4